Existe-t-il, un « genre » qui préexiste à sa codification, ou est-ce, au contraire, en étant soumis à une?

. codification que le sujet genre émerge au sein et par l'entremise de cette modalité d'assujettissement?
L'assujettissement n'est-il pas le processus par lequel les codifications produisent, justement, le genre?
Moi je pense qu’avancer que le genre est une « norme » nécessite de creuser notre argumentation. Une norme n'est pas une règle et ce n'est pas non plus une loi. La norme fonctionne au cœur des pratiques sociales en tant que critère implicite de normalisation. Si une norme peut être distinguée de manière analytique des pratiques dans lesquelles elle est « enchâssée », elle peut également résister à toute tentative visant à la décontextualiser de son fonctionnement. Les normes peuvent être explicites, ou ne pas l'être. Lorsqu'elles opèrent en tant que principe normalisateur de la pratique sociale, elles demeurent en général implicites, difficiles à déchiffrer et ne sont clairement et manifestement discernables que par les effets qu'elles produisent.
Et vous, qu’en pensez-vous? EN SAVOIR PLUS >>>

Entièrement d'accord avec toi!
Ceci étant dit, le genre est également existant dans un contexte linguistique donné. dans certains autres champs linguistique, ou d'autres langues cela n'a plus de sens!
Quand à la norme, elle est forcément implicitement imposeé par une codification linguistique sous jacente!
@ pénélope au contraire c'est très clair!
. Bah alors. J'suis pas "normale"!!. Et fière de ne pas l'être!. Et j'm'en tamponne le coquillard!!.
C'est celaaaaaaa ouiiiiii c'est celaaaaaaaaa
Chéri qd tu auras fini de jouer les psychiatres en herbe, tu penseras à sortir les poubelles stp!
J'ai mon cour de danse ce soir et n'oublie pas d'aller rechercher Jeanne à son cours de dessins
Ben ça dépend!!
en effet il est particulièrement difficile t'étudier l'impact biologique de l'alimentation sur notre organisme. Nous disposons de deux outils permettant de suivre clairement l'efficacité d'un changement alimentaire
le premier de ces marqueurs concerne le rapport soduim/potassium urinaire : il permet de vérifier la quantité et la qualité de la consommation en fruits, légumes et en produits céréaliers à haute densité nutritionnelle.
Ce rapport doit être compris entre 0.01 et 0.7.
mais attention, il n'est rare de trouver chez certains patients des rapports se situant aux environs de 2!!
Je sais pas si c'est de l'humour ou je ne sais quoi mais tu ne t'exprime pas clairement et correctement, peux tu reformuler?